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  • La poésie de Marc-Arthur Jean-Baptiste ouvre d’emblée la porte à l’incontournable, déniant aux mots le droit de se scléroser. Poésie dépouillée de merveilleux et d’enjolivures, ne se réclamant donc d’aucune avant-garde littéraliste. De fait, un véritable kaléidoscope social dans lequel le jeu des miroirs du poète subjugue les vérités de l’existence, sans composer avec le rêve et sans menacer pour autant la parole poétique. Des maux traduits en mots, certes, mais qui renvoient avant tout à un monde obnubilé par la hantise du lendemain. De là, en vérité, cette poésie tangible et palpable, faisant sempiternellement face à la confrontation ! (Edgard Gousse) La poésie n’a pas dit son dernier mot. De même, l’époustoufl ante vitalité de la poésie haïtienne n’est plus à démontrer. Qu’est-ce pour nous - pétri.e.s de la glaise de cette terre d’Haïti que les mauvaises langues prétendent maudite, mais que nous savons enchantée- la poésie si ce n’est cette deuxième langue qui nous place parfois dans le voisinage des dieux ? Si l’auteur de ce recueil se défend d’être poète, c’est pour, la ligne suivante, rappeler qu’il écrit pour survivre – à la manière des poètes, ajoutons-nous. En réalité, nous promenant entre les pages de ce livre, nous nous apercevons que Marc-Arthur écrit pour chercher Dieu. Sauf que le dieu en question est aussi absent dans sa présence qu’il est présent dans son absence. « La mort s’est pendue dans le regard édenté de l’horizon » / « Dieu revendique son dieu dans l’amnésie formatée de son temps. » - Et le titre du livre prend tout son sens : « Ambiguïtés ». Ambiguïtés, une affaire de Dieu, qui parle encore aux hommes, qui savent écouter, lire et questionner. « Et si l’univers n’était qu’une molécule… » ? En effet, et si… ? Faubert BOLIVA
  • La poésie de Marc-Arthur Jean-Baptiste ouvre d’emblée la porte à l’incontournable, déniant aux mots le droit de se scléroser. Poésie dépouillée de merveilleux et d’enjolivures, ne se réclamant donc d’aucune avant-garde littéraliste. De fait, un véritable kaléidoscope social dans lequel le jeu des miroirs du poète subjugue les vérités de l’existence, sans composer avec le rêve et sans menacer pour autant la parole poétique. Des maux traduits en mots, certes, mais qui renvoient avant tout à un monde obnubilé par la hantise du lendemain. De là, en vérité, cette poésie tangible et palpable, faisant sempiternellement face à la confrontation ! (Edgard Gousse) La poésie n’a pas dit son dernier mot. De même, l’époustoufl ante vitalité de la poésie haïtienne n’est plus à démontrer. Qu’est-ce pour nous - pétri.e.s de la glaise de cette terre d’Haïti que les mauvaises langues prétendent maudite, mais que nous savons enchantée- la poésie si ce n’est cette deuxième langue qui nous place parfois dans le voisinage des dieux ? Si l’auteur de ce recueil se défend d’être poète, c’est pour, la ligne suivante, rappeler qu’il écrit pour survivre – à la manière des poètes, ajoutons-nous. En réalité, nous promenant entre les pages de ce livre, nous nous apercevons que Marc-Arthur écrit pour chercher Dieu. Sauf que le dieu en question est aussi absent dans sa présence qu’il est présent dans son absence. « La mort s’est pendue dans le regard édenté de l’horizon » / « Dieu revendique son dieu dans l’amnésie formatée de son temps. » - Et le titre du livre prend tout son sens : « Ambiguïtés ». Ambiguïtés, une affaire de Dieu, qui parle encore aux hommes, qui savent écouter, lire et questionner. « Et si l’univers n’était qu’une molécule… » ? En effet, et si… ? Faubert BOLIVA
  • Vieilles ires Pièges de la vieillesse Doux leurres de l’âge Est-il vrai qu’être vieux, c’est être (r)usé ? On connaît tous les tours, surtout les tours de reins. Des ans parée, la vieillesse revêt ses plus beaux atours. Après avoir exercé mille et un métiers, Normand Lebeau, dit LeBouc, fi nit par publier un livre en 2007, ce dont il rêvait depuis longtemps. Atteint du virus de la publication, il a récidivé à de nombreuses reprises et l’ensemble de ses écrits se trouve à la Collection nationale de la BANQ (Bibliothèque et Archives nationales du Québec). Normand Lebeau/LeBouc 1956-2023
  • Vieilles ires Pièges de la vieillesse Doux leurres de l’âge Est-il vrai qu’être vieux, c’est être (r)usé ? On connaît tous les tours, surtout les tours de reins. Des ans parée, la vieillesse revêt ses plus beaux atours. Après avoir exercé mille et un métiers, Normand Lebeau, dit LeBouc, fi nit par publier un livre en 2007, ce dont il rêvait depuis longtemps. Atteint du virus de la publication, il a récidivé à de nombreuses reprises et l’ensemble de ses écrits se trouve à la Collection nationale de la BANQ (Bibliothèque et Archives nationales du Québec). Normand Lebeau/LeBouc 1956-2023
  • Vieilles ires Pièges de la vieillesse Doux leurres de l’âge Est-il vrai qu’être vieux, c’est être (r)usé ? On connaît tous les tours, surtout les tours de reins. Des ans parée, la vieillesse revêt ses plus beaux atours. Après avoir exercé mille et un métiers, Normand Lebeau, dit LeBouc, fi nit par publier un livre en 2007, ce dont il rêvait depuis longtemps. Atteint du virus de la publication, il a récidivé à de nombreuses reprises et l’ensemble de ses écrits se trouve à la Collection nationale de la BANQ (Bibliothèque et Archives nationales du Québec). Normand Lebeau/LeBouc 1956-2023
  • Qui suis-je ? D’où viens-je ? Où vais-je ? Depuis des temps immémoriaux, les humains portent des masques et s’interrogent sur leur présence terrestre. Un certain nombre est convaincu que des êtres imaginaires régentent l’univers. Les scientifiques, eux, ont solutionné une partie de l’équation. Quant au reste, nous nageons dans le mystère et le mystère, c’est ça la poésie ! Après avoir exercé mille et un métiers, Normand Lebeau, dit LeBouc, finit par publier un livre en 2007, ce dont il rêvait depuis longtemps. Atteint du virus de la publication, il a récidivé à de nombreuses reprises et l’ensemble de ses écrits se trouve à la Collection nationale de la BANQ (Bibliothèque et Archives nationales du Québec). Tous genres confondus, sans prétention ni contention, il vous invite à plonger dans un bain de mousse onirique.
  • Qui suis-je ? D’où viens-je ? Où vais-je ? Depuis des temps immémoriaux, les humains portent des masques et s’interrogent sur leur présence terrestre. Un certain nombre est convaincu que des êtres imaginaires régentent l’univers. Les scientifiques, eux, ont solutionné une partie de l’équation. Quant au reste, nous nageons dans le mystère et le mystère, c’est ça la poésie ! Après avoir exercé mille et un métiers, Normand Lebeau, dit LeBouc, finit par publier un livre en 2007, ce dont il rêvait depuis longtemps. Atteint du virus de la publication, il a récidivé à de nombreuses reprises et l’ensemble de ses écrits se trouve à la Collection nationale de la BANQ (Bibliothèque et Archives nationales du Québec). Tous genres confondus, sans prétention ni contention, il vous invite à plonger dans un bain de mousse onirique.
  • Ce recueil, c’est pour remercier Bilbo Cyr par la poésie et le slam C’est grâce à lui que je suis rendu là aujourd’hui Ce livre est précieux, rempli de souvenirs et de beaux moments d’amitié Moi, je vis ma vie dans le présent Deux années en Gaspésie et au Campoétik Que ça soit dans la forêt ou au milieu de nulle part Je serai toujours chez moi, Uni et entouré d’ami.es que j’ai écouté.es Pis entendu.es slamer Lim Brunet
  • Ce recueil, c’est pour remercier Bilbo Cyr par la poésie et le slam C’est grâce à lui que je suis rendu là aujourd’hui Ce livre est précieux, rempli de souvenirs et de beaux moments d’amitié Moi, je vis ma vie dans le présent Deux années en Gaspésie et au Campoétik Que ça soit dans la forêt ou au milieu de nulle part Je serai toujours chez moi, Uni et entouré d’ami.es que j’ai écouté.es Pis entendu.es slamer Lim Brunet
  • Ce recueil, c’est pour remercier Bilbo Cyr par la poésie et le slam C’est grâce à lui que je suis rendu là aujourd’hui Ce livre est précieux, rempli de souvenirs et de beaux moments d’amitié Moi, je vis ma vie dans le présent Deux années en Gaspésie et au Campoétik Que ça soit dans la forêt ou au milieu de nulle part Je serai toujours chez moi, Uni et entouré d’ami.es que j’ai écouté.es Pis entendu.es slamer Lim Brunet
  • À côté d'un feu de camp le soir En train de se raconter des histoires Hypnotisée par le feu qui a des couleurs chaudes Je vois aussi des petites flammes d'émeraude Quand j'entends les hiboux et les loups Qui font hou hou Je me sens jalouse de la belle vie des loups Moi je suis un humain Mais j'ai envie de crier comme un loup jusqu'au matin - Flori Nou
  • Viens, ne crains rien, dit-il, je suis celui qui t'aidera à traverser toutes les frontières que tu portes en toi. Approche, n'aie pas peur, je te permettrai d'atteindre ces destinations dont tu rêves depuis toujours, ces édens illicites où les serpents se nourrissent du lait des vierges, charmés par les langues de lumière dont s'illuminent les bouches enténébrées des derniers prophètes. In extremis est le récit d'une guerre intime que le poète se livre dans des territoires assiégés par des personnages d'extrême déroute, où le langage puise sa plus belle lumière dans les encres les plus sombres. Sylvain Turner est titulaire d'une maîtrise en études littéraires de l'Université du Québec à Montréal. Concepteur-rédacteur, traducteur et chroniqueur à l'émission littéraire Libraire de force, il écrit de la poésie depuis plus de trente ans. Il a publié dans les années 1990, époque où il a participé aux activités de la revue Gaz Moutarde, notamment.

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