Jean-Simon Brisebois signe son 11e recueil, L’ange du nouveau monde.
Un recueil de poésie urbaine directement sorti de ses tripes et inspiré de son passé.
Anges, démons, gens marginalisés, prostituées, clochards sont en quelque sorte sa source d’inspiration.
Bonne découverte d’un nouveau monde à travers le regard de ce prolifique auteur.
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Chantal Lee a grandi dans le quartier Hochelaga-Maisonneuve, à Montréal. Elle s’est découvert une passion pour l’écriture dès son jeune âge, mais ce n’est que depuis 2001 qu’elle écrit sur une base régulière. Violence, drogue, faible estime de soi et abus sexuels ont trop longtemps fait partie de la vie de cette femme courageuse. Chantal Lee a réussi à reprendre le dessus et malgré la grave maladie qui l’afflige depuis quelques années, elle partage, par le biais de son premier recueil de poésie, son inconditionnel amour de la vie.
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Je me suis dit guide de ma vie pendant mes jeunes années, plus têtu qu’un âne et certain que l’indépendance était la meilleure chose pour moi; je réalise à l’instant que j’ai toujours eu besoin des autres. C’est sur mon quai de papier que je cède cette ignorance et mes pieds aux courants rudes et engourdissant de cette eau dédaigneuse.
Extrait du texte Sur le sofa de mes dessins. -
Depuis 1997, Jean-Simon Brisebois s’est découvert un goût pour l’écriture. Après avoir publié une trilogie poétique aux Éditions TNT(Entité en 2008, L’âme de l’ange en 2007 et Renaissance en 2006), plusieurs de ses lecteurs étaient curieux de savoir lesquels de ces textes parlaient le plus de lui. Il revient donc en force avec Je me raconte, un court récit autobiographique. Laissez-vous guider dans le monde particulier de ce jeune auteur!
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Depuis 1997, Jean-Simon Brisebois s'est découvert une passion pour écriture. Il a coécrit une pièce de théâtre intitulée Une journée dans la rue avec l'auteur Christian Vaillancourt. Cette pièce est basée sur le témoignage et le vécu de jeunes qui ont fréquenté les Auberges du Coeur. Depuis l'adolescence, il s'implique activement dans divers projets communautaires dans le comté de Mercier-Hochelaga-Maisonneuve. Renaissance est un recueil de pensées et de poèmes parlant autant de son amour de la vie que d'espoir. Les textes sont basés sur ses observations ainsi que sur ses expériences. Laissez-vous guider par votre enfant intérieur pour pouvoir retrouver l'univers de ses premières découvertes.
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Déjà publié aux Éditions TNT, Je me raconte (2009), Entité (2008), L’âme de l'ange (2007) et Renaissance (2006). Les lettres écarlates est la suite poétique du recueil Je me raconte. Il en émerge de la poésie sur l’amour et ses excès. L’auteur s’est inspiré de son ancienne conjointe qui lui a permis d’écrire la majeure partie de ce livre. Les Lettres écarlates permettent de vous exprimer son amour sous des milliers de mots et d’images. Sortis directement de sa poitrine et de sa matière grise.
Laissez-vous guider par votre flamme intérieure Au cœur de ces émotions.
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Après avoir écrit Renaissance en 2006, L'âme de l'ange en 2007, Entité en 2008, Je me raconte en 2009 et Les lettres écarlates en 2010, l'auteur Jean-Simon Brisebois tranche l'histoire de son passé laissant transcrire ses pures vibrations en mots et en images dans ce recueil. Bienvenue dans les abîmes de son cœur.
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Après avoir publié sept livres en sept années, l'auteur Jean-Simon Brisebois a pris quelques années de répit. Il revient en force avec ce nouveau recueil. Le jeune auteur Jean-Simon Brisebois en a vu de toutes les couleurs: enfance en centre d'accueil, adolescence marquée par la drogue et la violence. L'écriture est son exutoire pour extérioriser ses démons. C'est en puisant dans son vécu, en s'inspirant des plus marginaux et en cherchant à même le béton de la rue qu'il alimente sa poésie. Au terme d'un huitième recueil, laissez-vous guider et bercer par le cri de ce poète de la nuit.
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Jean-Simon Brisebois signe son huitième recueil de poésie aux Éditions TNT. L’auteur se décrit avant tout comme un observateur. Ses mots, il les choisit à même le béton et la faune de Montréal. Né dans le quartier de Hochelaga-Maisonneuve, Jean-Simon Brisebois en a fait son théâtre où les personnages sont souvent des marginaux. L’écrivain s’inspire de leur vécu, mais aussi du sien : « Étant d’une grande sensibilité, je me consacre principalement aux problématiques et situations que peuvent vivre les jeunes marginaux », explique-t-il.