• «Zoé Saurais Empereur est partisane d’une poésie confessionnelle. Dans BlasFemme elle aborde, avec une écriture directe et parfois provocante, les thèmes de l’identité et du quotidien. Son texte, sans compromis, est à la fois inclusif, sociétal, volcanique et revendicateur. Ses mots, d’une extrême lucidité, oscillent entre slam et poème, et comme son auteure, se tiennent bien droits devant chacun d’entre nous.» Christophe Condello «Poète engagée, Zoé Saurais Empereur incarne un féminisme sans compromis. Elle nous offre des textes coups de poing, qui nous touchent tout en nous amenant à réfléchir. Il suffit de l’avoir entendue lire ses textes sur scène et d’avoir vu la réaction du public pour en être convaincu : cette jeune artiste est promise à un brillant avenir.» Sylvain Turner
    			
  • Jean-Pierre Fabien est né à Montréal en 1955.  Il est biologiste et a enseigné l’écologie au secondaire pendant 25 ans tout en favorisant l’approche terrain avec ses élèves afin d’établir un réel contact avec la nature. En 2005, il quitte l’enseignement afin d’offrir son soutien aux écoles d’éducation internationale à titre de professionnel.  En 1990, il devient cofondateur du CORDEM, un club d’ornithologie dont le siège social est situé dans Lanaudière. Depuis 1989, il tient une chronique sur la faune et la flore dans le journal communautaire Le Sentier de Saint-Hippolyte.  C’est dans cette ville qu’il vit en permanence depuis sa retraite en mai 2015. L’auteur s’exprime par la poésie depuis la fin de son secondaire. Pour ce recueil, il a colligé plusieurs textes qui sont le reflet de sa sensibilité et de sa vision écologique inspirée d’auteurs qui l’ont marqué comme Pierre Morency, le frère Marie-Victorin, Jacques Grand’Maison, Pierre Dansereau et Henry David Thoreau.
  • Éric Roger est né à Montréal. Il a grandi dans le quartier Ville-Émard, où la poésie habitait les ruelles. Animateur et journaliste, il a créé, à L’Escalier, Les soirées de poésie-musique Solovox qu'il anime depuis près de 20 ans. Il a participé à plusieurs événements, dont Les Francofolies de Montréal et le Festival de poésie de Caraquet en 2010. Il a publié dans différentes anthologies et revues. On lui doit Le Soleil veut ta peau et Il fait trop beau pour la fin du monde, aux Éditions TNT. Le milieu en toi est son douzième recueil.
  • Avant que le cirque ne se voile assure-toi que le reflet de ta verticalité soit le vrai sommeil interdit j’anime pour les sages qui n’ont que la parole pour se tenir debout j’éclaire la nuit pour ne pas l’éteindre.
  • Magie ancestrale Je suis l'enfant unique De la solitude Je suis la fiction téléportée Des satellites astraux
    Il fait trop beau pour la fin du monde est le 11e recueil de poésie d'Éric Roger. Éric a participé à plusieurs spectacles de poésie partout au Canada, dont aux Francofolies de Montréal et au Festival acadien de poésie de Caraquet. Depuis 17 ans maintenant, il produit et anime les soirées de poésie-musique SoloVox.
  • Ces « POÈMES ENTRELACÉS » comme le titre l’indique forment un ensemble de textes choisis parmi tous ceux écrits au fil des années. Leurs sujets varient : la nature, notre environnement, la Terre, les êtres humains avec leur vécu, leurs racines, leurs émotions, leurs rêves et leurs désirs. Et bien sûr, cela englobe l’amour, la joie, la peine, la détresse, la solitude, l’espoir, la solidarité et tout le reste. Je ne pourrais livrer ce recueil sans aussi parler de la vie, de la mort…nos défis quotidiens. Pour moi, la voix, le silence et l’écriture restent les meilleurs moyens de libérer mes sentiments et de rejoindre autrui. N’est-ce pas le but premier des mots? Résonner, bruire au cœur du territoire humain. Bref, ouvrez ce livre et vous comprendrez le sens de ma démarche. Ces textes entrelacés vous appartiennent. Sans bruit, nous poursuivrons la marche des vivants de la Terre et prendrons du silence l’humilité des pierres.
  • D'une couche à l'autre  Un jour, je devrai me remettre aux couches  À moins que le coucher éternel ne survienne avant  Vous aimez écrire, jouer avec les mots?  Contrairement à beaucoup d'autres humains  Vous êtes prêts à admettre que vous êtes de grands bébés  Toutes et tous autant que vous êtes, des poupons format géant  Vous aurez eu l'esprit ludique d'un bout à l'autre  Et c'est sans grande surprise que vous passerez, à l'heure du retour  D'une couche à l'autre et à la dernière, vous aurez fait le tour.
  • La plupart du temps, mon esprit vagabonde Les voies sont multiples et les idées abondent Non, je ne suis ni un motard ni un clodo Appelez-moi Normand le hobo Je traque les mots C’est ma voie, mon chemin de faire.   La majorité des textes de ce recueil ont été écrits en 2015, quelques-uns plus anciens y ont été intégrés. 2016 marquait le 25e anniversaire de la mort du célèbre trompettiste de jazz Miles Davis et un volet de ce recueil lui est consacré, ainsi qu’à d’autres immortels de cette musique classique des Afroaméricains. Auteur éclectique, Normand Lebeau a d’abord rédigé des nouvelles avant de se lancer à fond de train dans la prose poétique. Il est également un parolier prolifique. Écrire, c’est la drogue qui coûte la moins chère et qui dure le plus longtemps.
  • Dans le paradoxe de l’existence, la vie est fusion du mal et du bien, car le vecteur tangentiel de celle-ci est le résultat des deux (Mal et Bien) simultanément. De la dualité de corps de poussière et de l’âme vivifiante d’énergie… ainsi fut le commencement de l’homme-orchestre par l’embryon bleu qui atteint son minimum équilibre de planète d’eau-de-vie à la suite d’un chaos ancestral de bigbang d’œuf condensé de matières subtiles à réactions de molécules indéfinies et finies. Un résultat d’empreintes d’ambiguïtés qui amène à des êtres créés à l’image des dieux des croyances méconnues et connues et mystérieusement étiquetées de sacré… Dans la quantification de jeux de mots d’implosions ou d’explosions mathématiques, le déplacement en jets de spirales de matières originales finit par procréer ce qu’on appelle « Vie » dans la chimie primitivement modérée. Encore aujourd’hui, dans des équivoques schizophrènes de temps de présages, j’interroge le faux du vrai de l’insolite réalité…
  • Le recueil Extraits en spirales est un alliage de mots, en élan d'alchimie, qui dénoncent et interrogent les failles du temps au lieu de se suicider de silence. La schizophrénie sature l'encre et conçoit des rêves qui deviendront des acquis dans le futur...  
  • Dans la longue histoire des Nuits de la poésie, s’est tenue à la Maison de la culture Maisonneuve le 24 mars 2023 une nocturne de poésie se voulant festive, commémorative et transgénérationnelle. Sans budget publicitaire -- mais néanmoins tenu à guichets fermés – ce spectacle s’est avéré non seulement la première édition parfaitement paritaire en 53 ans, mais aussi la seule à ce jour à livrer l’interprétation simultanée en langue des signes du Québec (LSQ) en plus d’inclure un poète sourd. Combinant textes poétiques et photos inédites croquées au cours de cette soirée, ce recueil est ainsi une version papier de La Nuit de la poésie 2020+3.
  • Je me suis dit guide de ma vie pendant mes jeunes années, plus têtu qu’un âne et certain que l’indépendance était la meilleure chose pour moi; je réalise à l’instant que j’ai toujours eu besoin des autres. C’est sur mon quai de papier que je cède cette ignorance et mes pieds aux courants rudes et engourdissant de cette eau dédaigneuse.
    Extrait du texte Sur le sofa de mes dessins.
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