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Viens, ne crains rien, dit-il, je suis celui qui t'aidera à traverser toutes les frontières que tu portes en toi. Approche, n'aie pas peur, je te permettrai d'atteindre ces destinations dont tu rêves depuis toujours, ces édens illicites où les serpents se nourrissent du lait des vierges, charmés par les langues de lumière dont s'illuminent les bouches enténébrées des derniers prophètes. In extremis est le récit d'une guerre intime que le poète se livre dans des territoires assiégés par des personnages d'extrême déroute, où le langage puise sa plus belle lumière dans les encres les plus sombres. Sylvain Turner est titulaire d'une maîtrise en études littéraires de l'Université du Québec à Montréal. Concepteur-rédacteur, traducteur et chroniqueur à l'émission littéraire Libraire de force, il écrit de la poésie depuis plus de trente ans. Il a publié dans les années 1990, époque où il a participé aux activités de la revue Gaz Moutarde, notamment. Version en anglais: editionstnt.com/produit/in-extremis-english/
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Come, have no fear of anything, he says, I am he who will help you cross all the boundaries you carry within yourself. Approach, do not be afraid, I will allow you to reach destinations you have always dreamt of, those illicit Edens where serpents dine on the milk of virgins, charmed by tongues of light that illuminate the shadowy mouths of the latest prophets. In extremis is the story of a private, intimate war that the poet wages in the heart of besieged territories, where language shines its most beautiful light on the most sombre of inks. It is followed by Paintings of Ordinary Apocalypses, a series of poems where we are introduced to a variety of exotic characters. French version: editionstnt.com/produit/in-extremis/ Sylvain Turner holds a master’s degree in literature from the Université de Québec à Montréal. A designer/copywriter, translator, literary chronicler and lyricist, he has been published in magazines such as Gaz Moutarde, Possibles and Exit, among others. “You’ve got to read In extremis for the power of its words, the emotions conveyed and, very simply, to discover the pen of Sylvain Turner.” Roxanne Pichette CQFL (Ce qu’il faut lire) “Highly incarnate. It almost feels like being at the movies.” Lynda Dion Libraire de force “The poet has written a very touching book. Some of the poems are quite simple. The effectiveness with which they communicate emotion is undeniable. (…) Turner’s return to poetry is a definite success. I couldn’t be more delighted.” Daniel Guénette Le blog de Dédé blanc-bec
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Les Éditions TNT réinventent le numérique avec Après la pluie… Le beau temps Plus de 5 000 exemplaires vendus. Une 3e édition toute particulière ; un livre hybride, mi papier et mi numérique. Chaque poème du livre papier comporte un lien pour vous diriger vers la version numérique. Vous pouvez y laisser votre commentaire et même vos propres textes. Chaque commentaire est lu et obtient sa réponse. La version numérique du poème est en constante évolution. Chaque texte révèle un message, une émotion. Choisissez un texte au hasard et regardez ce qu’il fait remonter en vous. Un jour, un ami m’a donné une phrase. Cette phrase ne s’appliquait pas à moi, à l’époque. Inconsciemment, cette phrase est restée dans le fond de mes connaissances, près des oubliettes. Six mois plus tard, après ma deuxième tentative de suicide, au plus profond de mes ténèbres, cette petite phrase est remontée à la surface. Cette petite phrase m’a permis de faire un premier pas. Un premier pas pour demander l’aide dont j’avais besoin. Ce livre a été écrit avec beaucoup de petites phrases. Si un jour de pluie, une seule de ces petites phrases remonte en toi, il a sûrement mérité d’être lu. Version anglaise : editionstnt.com/produit/its-always-darkest-before-the-dawn/
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One day, a friend told me a phrase. At the time, this phrase didn’t apply to me. Subconsciously, it remained At the bottom of my mind, next to oblivion. Six months later, after my second suicide attempt, At the depths of my despair, This little phrase bubbled to the surface. This little phrase allowed me to take a first step A first step to ask for the help I needed. This book was written using a lot of little phrases. On a rainy day, if just one of those little phrases Rises to the surface of your conscious thoughts, This will have proved to be a worthwhile reading. Thank you all for your nice thoughts French version: editionstnt.com/produit/apres-la-pluie-le-beau-temps/
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Je m’accroche aux lumières Qui me tendent un dernier soupir Dans l’œil de la mouche Il y a des conditions pour survivre Tu as mis ton masque à nu Je respire la nuit jusqu’à temps Qu’elle me dévisageÉric Roger a grandi entre Saint-Henri et Ville-Émard. Il a animé à la radio de CISM, CKUT et CINQFM. Il anime depuis 2000 les soirées de poésie-musique SoloVox un peu partout au Québec. Il vous offre ici « La pluie de la mort » son quatrième titre aux Éditions TNT.
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Qui suis-je ? D’où viens-je ? Où vais-je ? Depuis des temps immémoriaux, les humains portent des masques et s’interrogent sur leur présence terrestre. Un certain nombre est convaincu que des êtres imaginaires régentent l’univers. Les scientifiques, eux, ont solutionné une partie de l’équation. Quant au reste, nous nageons dans le mystère et le mystère, c’est ça la poésie ! Après avoir exercé mille et un métiers, Normand Lebeau, dit LeBouc, finit par publier un livre en 2007, ce dont il rêvait depuis longtemps. Atteint du virus de la publication, il a récidivé à de nombreuses reprises et l’ensemble de ses écrits se trouve à la Collection nationale de la BANQ (Bibliothèque et Archives nationales du Québec). Tous genres confondus, sans prétention ni contention, il vous invite à plonger dans un bain de mousse onirique.
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Un livre de poésie de 128 pages. Liberté politique, liberté journalistique, liberté émotionnelle… Toutes les couleurs de la liberté, individuelle et collective. Une belle suite pour mon premier livre de poésie, Après la pluie… Le beau temps. Parce qu’après la crise… on peut trouver la liberté… sa liberté. Liberté… Un sourire intérieur. Une façon de souligner les 5 000 exemplaires vendus du premier livre Après la pluie… Le beau temps. Même prix que le premier livre, publié en 1992, avec le même nombre de pages et écrit avec le même amour.
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La poésie de Marc-Arthur Jean-Baptiste ouvre d’emblée la porte à l’incontournable, déniant aux mots le droit de se scléroser. Poésie dépouillée de merveilleux et d’enjolivures, ne se réclamant donc d’aucune avant-garde littéraliste. De fait, un véritable kaléidoscope social dans lequel le jeu des miroirs du poète subjugue les vérités de l’existence, sans composer avec le rêve et sans menacer pour autant la parole poétique. Des maux traduits en mots, certes, mais qui renvoient avant tout à un monde obnubilé par la hantise du lendemain. De là, en vérité, cette poésie tangible et palpable, faisant sempiternellement face à la confrontation ! (Edgard Gousse) La poésie n’a pas dit son dernier mot. De même, l’époustoufl ante vitalité de la poésie haïtienne n’est plus à démontrer. Qu’est-ce pour nous - pétri.e.s de la glaise de cette terre d’Haïti que les mauvaises langues prétendent maudite, mais que nous savons enchantée- la poésie si ce n’est cette deuxième langue qui nous place parfois dans le voisinage des dieux ? Si l’auteur de ce recueil se défend d’être poète, c’est pour, la ligne suivante, rappeler qu’il écrit pour survivre – à la manière des poètes, ajoutons-nous. En réalité, nous promenant entre les pages de ce livre, nous nous apercevons que Marc-Arthur écrit pour chercher Dieu. Sauf que le dieu en question est aussi absent dans sa présence qu’il est présent dans son absence. « La mort s’est pendue dans le regard édenté de l’horizon » / « Dieu revendique son dieu dans l’amnésie formatée de son temps. » - Et le titre du livre prend tout son sens : « Ambiguïtés ». Ambiguïtés, une affaire de Dieu, qui parle encore aux hommes, qui savent écouter, lire et questionner. « Et si l’univers n’était qu’une molécule… » ? En effet, et si… ? Faubert BOLIVA
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Jean-Pierre Fabien est né à Montréal en 1955. Il est biologiste et a enseigné l’écologie au secondaire pendant 25 ans tout en favorisant l’approche terrain avec ses élèves afin d’établir un réel contact avec la nature. En 2005, il quitte l’enseignement afin d’offrir son soutien aux écoles d’éducation internationale à titre de professionnel. En 1990, il devient cofondateur du CORDEM, un club d’ornithologie dont le siège social est situé dans Lanaudière. Depuis 1989, il tient une chronique sur la faune et la flore dans le journal communautaire Le Sentier de Saint-Hippolyte. C’est dans cette ville qu’il vit en permanence depuis sa retraite en mai 2015. L’auteur s’exprime par la poésie depuis la fin de son secondaire. Pour ce recueil, il a colligé plusieurs textes qui sont le reflet de sa sensibilité et de sa vision écologique inspirée d’auteurs qui l’ont marqué comme Pierre Morency, le frère Marie-Victorin, Jacques Grand’Maison, Pierre Dansereau et Henry David Thoreau.
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Éric Roger est né à Montréal. Il a grandi dans le quartier Ville-Émard, où la poésie habitait les ruelles. Animateur et journaliste, il a créé, à L’Escalier, Les soirées de poésie-musique Solovox qu'il anime depuis près de 20 ans. Il a participé à plusieurs événements, dont Les Francofolies de Montréal et le Festival de poésie de Caraquet en 2010. Il a publié dans différentes anthologies et revues. On lui doit Le Soleil veut ta peau et Il fait trop beau pour la fin du monde, aux Éditions TNT. Le milieu en toi est son douzième recueil.
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Magie ancestrale Je suis l'enfant unique De la solitude Je suis la fiction téléportée Des satellites astraux
Il fait trop beau pour la fin du monde est le 11e recueil de poésie d'Éric Roger. Éric a participé à plusieurs spectacles de poésie partout au Canada, dont aux Francofolies de Montréal et au Festival acadien de poésie de Caraquet. Depuis 17 ans maintenant, il produit et anime les soirées de poésie-musique SoloVox. -
Ces « POÈMES ENTRELACÉS » comme le titre l’indique forment un ensemble de textes choisis parmi tous ceux écrits au fil des années. Leurs sujets varient : la nature, notre environnement, la Terre, les êtres humains avec leur vécu, leurs racines, leurs émotions, leurs rêves et leurs désirs. Et bien sûr, cela englobe l’amour, la joie, la peine, la détresse, la solitude, l’espoir, la solidarité et tout le reste. Je ne pourrais livrer ce recueil sans aussi parler de la vie, de la mort…nos défis quotidiens. Pour moi, la voix, le silence et l’écriture restent les meilleurs moyens de libérer mes sentiments et de rejoindre autrui. N’est-ce pas le but premier des mots? Résonner, bruire au cœur du territoire humain. Bref, ouvrez ce livre et vous comprendrez le sens de ma démarche. Ces textes entrelacés vous appartiennent. Sans bruit, nous poursuivrons la marche des vivants de la Terre et prendrons du silence l’humilité des pierres.
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C’est ici que débute l’aventure poétique d’Eric Arson. Une sélection de poèmes de toutes ses époques qui se dévoile dans un recueil, un film et 13 chansons. Avec la collaboration d’amis(es) artistes de toutes les disciplines, cette première œuvre poétique met en lumière l’amour de l’auteur pour le genre poétique décliné sous plusieurs formes d’expressions.
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Dans le paradoxe de l’existence, la vie est fusion du mal et du bien, car le vecteur tangentiel de celle-ci est le résultat des deux (Mal et Bien) simultanément. De la dualité de corps de poussière et de l’âme vivifiante d’énergie… ainsi fut le commencement de l’homme-orchestre par l’embryon bleu qui atteint son minimum équilibre de planète d’eau-de-vie à la suite d’un chaos ancestral de bigbang d’œuf condensé de matières subtiles à réactions de molécules indéfinies et finies. Un résultat d’empreintes d’ambiguïtés qui amène à des êtres créés à l’image des dieux des croyances méconnues et connues et mystérieusement étiquetées de sacré… Dans la quantification de jeux de mots d’implosions ou d’explosions mathématiques, le déplacement en jets de spirales de matières originales finit par procréer ce qu’on appelle « Vie » dans la chimie primitivement modérée. Encore aujourd’hui, dans des équivoques schizophrènes de temps de présages, j’interroge le faux du vrai de l’insolite réalité…
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TENIR PAROLES présente le parcours singulier de l’auteur-compositeur-interprète Ian Fournier. Explorateur acharné, pourchasseur insatiable des mots et de leur sens, Ian Fournier a survolé les 30 dernières années armé d’un crayon et d’un bout de papier, toujours prêt à témoigner du monde en chanson. Les 108 textes de TENIR PAROLES, regroupés en dix sections, montrent l’originalité de la démarche de l’auteur et témoignent de son enviable liberté: d’un album à l’autre, en tant qu’artiste-producteur, Ian Fournier a pu changer à sa guise de style musical, parfois même radicalement. C’est ainsi que les chansons colligées dans ce recueil, oscillant entre sonorités rock, poésie et histoire, lui confèrent un relief peu commun, miroir de la carrière de l’artiste. TENIR PAROLES, avec ses commentaires autobiographiques, ses textes profonds à la fois philosophiques, intrigants et drôles, nous convie à la découverte d’un poète prolifique autant qu’inspirant.
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Première publication de la slameuse Berekyah: Des rivières et des rêves, un livre de poésie urbaine. Armée de ses rimes et de ses mots, ce que BerekYah dévoile à travers ce recueil, c’est, d’abord et avant tout, la poésie de ses maux. L’amour et ses maux, mais également ce profond amour pour les mots. Des rivières et des rêves s’est dessiné au fil du temps grâce à l’empreinte de ses pas à travers courants et marées. Ce sont les lieux connus et imaginés de son esprit sur papier. Des lieux où l’amour est Reine et la poésie, son mentor. Créer. Allier les mots à l’art au lieu de compenser par de l’or quand on broie du noir. Ce recueil est un message; l’imagination peut tout repeindre. Rivage ou mirage? Peu importe, suivons l’horizon et les vagues nous mèneront vers cette vision. BerekYah vous invite à prendre place dans sa barque de papier pour longer les méandres de sa réalité. Elle vous incite à comprendre que de son encre, elle peut en changer l’épopée. Des rivières et des rêves dont les rêves reconstruisent les rivières à la dérive. En naviguant sur les flots de sa poésie, on comprend que c’est en écrivant qu’elle s’affranchit. Les mots sont les outils avec lesquels elle creuse la terre de ses émotions à la recherche des racines de ses tourments. Et puis les rimes sont les calmants qui les déciment pour qu’elles renaissent symboliquement.