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  • La poésie de Marc-Arthur Jean-Baptiste ouvre d’emblée la porte à l’incontournable, déniant aux mots le droit de se scléroser. Poésie dépouillée de merveilleux et d’enjolivures, ne se réclamant donc d’aucune avant-garde littéraliste. De fait, un véritable kaléidoscope social dans lequel le jeu des miroirs du poète subjugue les vérités de l’existence, sans composer avec le rêve et sans menacer pour autant la parole poétique. Des maux traduits en mots, certes, mais qui renvoient avant tout à un monde obnubilé par la hantise du lendemain. De là, en vérité, cette poésie tangible et palpable, faisant sempiternellement face à la confrontation ! (Edgard Gousse) La poésie n’a pas dit son dernier mot. De même, l’époustoufl ante vitalité de la poésie haïtienne n’est plus à démontrer. Qu’est-ce pour nous - pétri.e.s de la glaise de cette terre d’Haïti que les mauvaises langues prétendent maudite, mais que nous savons enchantée- la poésie si ce n’est cette deuxième langue qui nous place parfois dans le voisinage des dieux ? Si l’auteur de ce recueil se défend d’être poète, c’est pour, la ligne suivante, rappeler qu’il écrit pour survivre – à la manière des poètes, ajoutons-nous. En réalité, nous promenant entre les pages de ce livre, nous nous apercevons que Marc-Arthur écrit pour chercher Dieu. Sauf que le dieu en question est aussi absent dans sa présence qu’il est présent dans son absence. « La mort s’est pendue dans le regard édenté de l’horizon » / « Dieu revendique son dieu dans l’amnésie formatée de son temps. » - Et le titre du livre prend tout son sens : « Ambiguïtés ». Ambiguïtés, une affaire de Dieu, qui parle encore aux hommes, qui savent écouter, lire et questionner. « Et si l’univers n’était qu’une molécule… » ? En effet, et si… ? Faubert BOLIVA
  • Vieilles ires Pièges de la vieillesse Doux leurres de l’âge Est-il vrai qu’être vieux, c’est être (r)usé ? On connaît tous les tours, surtout les tours de reins. Des ans parée, la vieillesse revêt ses plus beaux atours. Après avoir exercé mille et un métiers, Normand Lebeau, dit LeBouc, fi nit par publier un livre en 2007, ce dont il rêvait depuis longtemps. Atteint du virus de la publication, il a récidivé à de nombreuses reprises et l’ensemble de ses écrits se trouve à la Collection nationale de la BANQ (Bibliothèque et Archives nationales du Québec). Normand Lebeau/LeBouc 1956-2023
  • Qui suis-je ? D’où viens-je ? Où vais-je ? Depuis des temps immémoriaux, les humains portent des masques et s’interrogent sur leur présence terrestre. Un certain nombre est convaincu que des êtres imaginaires régentent l’univers. Les scientifiques, eux, ont solutionné une partie de l’équation. Quant au reste, nous nageons dans le mystère et le mystère, c’est ça la poésie ! Après avoir exercé mille et un métiers, Normand Lebeau, dit LeBouc, finit par publier un livre en 2007, ce dont il rêvait depuis longtemps. Atteint du virus de la publication, il a récidivé à de nombreuses reprises et l’ensemble de ses écrits se trouve à la Collection nationale de la BANQ (Bibliothèque et Archives nationales du Québec). Tous genres confondus, sans prétention ni contention, il vous invite à plonger dans un bain de mousse onirique.
  • Ce recueil, c’est pour remercier Bilbo Cyr par la poésie et le slam C’est grâce à lui que je suis rendu là aujourd’hui Ce livre est précieux, rempli de souvenirs et de beaux moments d’amitié Moi, je vis ma vie dans le présent Deux années en Gaspésie et au Campoétik Que ça soit dans la forêt ou au milieu de nulle part Je serai toujours chez moi, Uni et entouré d’ami.es que j’ai écouté.es Pis entendu.es slamer Lim Brunet
  • Viens, ne crains rien, dit-il, je suis celui qui t'aidera à traverser toutes les frontières que tu portes en toi. Approche, n'aie pas peur, je te permettrai d'atteindre ces destinations dont tu rêves depuis toujours, ces édens illicites où les serpents se nourrissent du lait des vierges, charmés par les langues de lumière dont s'illuminent les bouches enténébrées des derniers prophètes. In extremis est le récit d'une guerre intime que le poète se livre dans des territoires assiégés par des personnages d'extrême déroute, où le langage puise sa plus belle lumière dans les encres les plus sombres. Sylvain Turner est titulaire d'une maîtrise en études littéraires de l'Université du Québec à Montréal. Concepteur-rédacteur, traducteur et chroniqueur à l'émission littéraire Libraire de force, il écrit de la poésie depuis plus de trente ans. Il a publié dans les années 1990, époque où il a participé aux activités de la revue Gaz Moutarde, notamment.
  • Come, have no fear of anything, he says, I am he who will help you cross all the boundaries you carry within yourself. Approach, do not be afraid, I will allow you to reach destinations you have always dreamt of, those illicit Edens where serpents dine on the milk of virgins, charmed by tongues of light that illuminate the shadowy mouths of the latest prophets.   In extremis is the story of a private, intimate war that the poet wages in the heart of besieged territories, where language shines its most beautiful light on the most sombre of inks. It is followed by Paintings of Ordinary Apocalypses, a series of poems where we are introduced to a variety of exotic characters.   Sylvain Turner holds a master’s degree in literature from the Université de Québec à Montréal. A designer/copywriter, translator, literary chronicler and lyricist, he has been published in magazines such as Gaz Moutarde, Possibles and Exit, among others. “You’ve got to read In extremis for the power of its words, the emotions conveyed and, very simply, to discover the pen of Sylvain Turner.” Roxanne Pichette CQFL (Ce qu’il faut lire)   “Highly incarnate. It almost feels like being at the movies.” Lynda Dion Libraire de force   “The poet has written a very touching book. Some of the poems are quite simple. The effectiveness with which they communicate emotion is undeniable. (…) Turner’s return to poetry is a definite success. I couldn’t be more delighted.” Daniel Guénette Le blog de Dédé blanc-bec Other versions: https://editionstnt.com/produit/in-extremis-english/
  • Jean-Simon Brisebois signe son 11e recueil, L’ange du nouveau monde. Un recueil de poésie urbaine directement sorti de ses tripes et inspiré de son passé. Anges, démons, gens marginalisés, prostituées, clochards sont en quelque sorte sa source d’inspiration. Bonne découverte d’un nouveau monde à travers le regard de ce prolifique auteur.
  • L’héroïne de ma vie est un livre destiné à comprendre les enjeux auxquels les personnes qui consomment des opioïdes peuvent être confrontées. Il a été écrit à travers les carnets intimes d’un homme aux mille et un rêves. Il ne s’agit pas d’identifier les raisons qui l’ont mené à consommer, mais bien de connaître les motivations qui l’ont encouragé à arrêter, ses difficultés pour y parvenir et les conséquences que son mode de vie a eues sur sa vie. Biographique, émotif, mais aussi informatif, ce livre se veut un ouvrage qui alimentera nos réflexions concernant la dépendance aux opioïdes et le jugement discutable que la société porte envers les personnes qui consomment. Ce livre ne détient pas la vérité absolue, chacun vivant sa dépendance différemment, cela représente l’une des visions, la sienne.

    L’auteure de ce livre, Caroline Leblanc, est travailleuse sociale, M.Serv.soc, et étudiante au doctorat en santé communautaire à laFaculté de médecine et science de la santé de l’Université de Sherbrooke. Elle est également récipiendaire de nombreux prix, dont la bourse de la fondation Pierre-Elliot-Trudeau, ainsi que la bourse des études supérieures Vanier du Canada. Pour l’autrice, la justice sociale occupe une place au cœur de ses actions, et publier ce livre était une façon de donner une voix à une personne qui lui est chère et qui a toujours voulu être entendue.

  • Je m’accroche aux lumières Qui me tendent un dernier soupir Dans l’œil de la mouche Il y a des conditions pour survivre Tu as mis ton masque à nu Je respire la nuit jusqu’à temps Qu’elle me dévisage
    Éric Roger a grandi entre Saint-Henri et Ville-Émard. Il a animé à la radio de CISM, CKUT et CINQFM. Il anime depuis 2000 les soirées de poésie-musique SoloVox un peu partout au Québec. Il vous offre ici « La pluie de la mort » son quatrième titre aux Éditions TNT.
  • La diversité aux quatre vents ! On lève le voile. Littéralement et symboliquement. Pour prendre le large. Pour montrer qui nous sommes. Les grands départs Ce thème est celui de la toute première Fierté du Fleuve qui a eu lieu à Rimouski en 2021 et qui a donné lieu à un concours de création littéraire. Dix-sept textes variés, dont beaucoup proviennent d’auteurs, autrices et auteurices du Bas Saint-Laurent, peuplent ces pages. Et, espérons-le, qu’ils peupleront votre coeur.
  • Briser le silence, un mot à la fois. Déboulonner un tabou, celui de la violence dans les relations intimes et amoureuses. Un tabou encore plus tabou chez les personnes des communautés 2LGBTIQIA+.Pourquoi ? La honte, la peur, ne pas être cru.e.s, l’isolement, la pression sociale, être exclu.e.s. Dans la mouvance de #MeToo, des victimes de violence trouvent enfin une voix. Une toute petite voix parfois, dont l’acte très intime d’écrire en est le balbutiement, le premier coming out. Écoutons. Entendons ces mots. Lisons cette parole. Libérons. Dix-neuf textes disent la violence. Des perspectives diverses. Des textes durs. Des paroles crues. Mais nécessaires.En conséquence, ce livre comporte des descriptions de violence et de sexualité ainsi que du langage pouvant ne pas convenir à tout le monde. Nous préférons vous en avertir. Fierté littéraire remercie le Bureau de lutte contre l’homophobie et la transphobie du ministère de la Justice du Québec pour sa contribution exceptionnelle à cet ouvrage.

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